Diagnostiquée bipolaire chronique à l’âge de 30 ans, l’auteure traverse des périodes d’euphorie créatrice et des moments de profonde dépression. Elle retrace ici ce parcours, entre séances de psychothérapie et exercice de la bande dessinée, comme autre forme de thérapie.
« Une case en moins », Ellen Forney, Delcourt
5 commentaires »
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Sybilline Said:
on 1 novembre 2013 at 07:41
Comment vas-tu Lana? Pas grand chose à ajouter sur ce roman qui paraît intéressant. Si j’avais le temps…
Juste envie de te dire: merci d’être là, présente pour la foi en une renaissance, l’espoir, la joie d’être ensemble. J’ai beaucoup appris grâce à toi.
Alain Said:
on 1 novembre 2013 at 14:18
On dit souvent qu’il y a un continuum entre la maladie bipolaire et la schizophrénie. Il serait intéressant d’entendre des témoignages de gens souffrant de cette maladie, la maladie de beaucoup de génies.
Lana Said:
on 2 novembre 2013 at 02:40
Ca va, merci. Ce livre est en fait une BD, plus précisément un roman graphique, donc ça se lit vite.
laviergedeferblanc Said:
on 3 novembre 2013 at 12:53
J’ai découvert ce blog il y a quelques minutes et en conséquence je n’ai pas lu beaucoup de publications mais néanmoins je suis devenue immédiatement intéressée à le sujet que tu abordes, c’est-à-dire aux vies des malades de schizophrenie et la repugnance avec laquelle ils se confrontent de la part des « normaux ».
Lana Said:
on 3 novembre 2013 at 18:13
Je suis contente que ça t’intéresse!